Ce vendredi dans la préfecture de coyah s’est tenue une formation sur la maladie à virus Ebola. Cette rencontre initiée par l’agence nationale de sécurité sanitaire et son partenaire technique la GIZ vise à permettre aux journalistes de mieux cerner certaines notions liées à la maladie à virus Ebola.. Selon Jean Traoré, chef d’unité Communication et médias, la rencontre était plus un partage de connaissance: 《On a initié ce cadre d’échange avec les journalistes d’une part pour renforcer leur capacité sur la connaissance générale sur la maladie à virus Ebola, mais aussi d’autre part, renforcer la capacité des journalistes sur comment est-ce qu’ils devraient pouvoir améliorer la qualité des couvertures des urgences de santé publique parce qu’ils jouent un rôle extrêmement important mais aussi dans la compréhension des populations toujours amenée à prendre des décisions pour se protéger et protéger les autres. C’était beaucoup plus un atelier d’échange qu’un atelier de formation 》
Au cours de cette formation, l’origine de la maladie, les modes de transmission, les symptômes, le traitement, le cas suspect, cas confirmé, ou encore cas probable ont été expliqué aux journalistes afin que la rédaction de sujets liés à la maladie à virus Ebola soient bien traités.
La rétention de l’information par les structures sanitaires à été l’un des défis évoqué par les participants, le facilitateur s’est engagé à œuvrer pour améliorer le rapport presse/autorité sanitaire《 En tant qu’interface entre les journalistes et nos institutions, nous avions eu à écouter les journalistes et avons pris toutes les demandes des uns et des autres. Nous tâcherons de faire tout possible pour que les prochaines fois,les journalistes aient accès à l’information le plus rapidement possible pour permettre aux populations d’avoir accès à une information de qualité, de pouvoir prendre des informations sur la base des informations bien rédigées >> .
Plus de 30 journalistes issus de la presse publique et privée ont pris part à cette formation de Coyah.
